Thanks to an exciting collection of testimonies and many photographs of former soldiers of the LSSAH division, German author Thomas Fischer takes us into the universe - often unknown - of the artillery of the 1st division of the Waffen SS. Through this work, the reader will be able to grasp the crucial importance of artillery, both in defense and attack, during the short Balkan Campaign of Spring 1941 and during the grueling months in the front of the immensity of the East.
Grâce à une collecte passionnante de témoignages et de nombreuses photographies d’anciens soldats de la division « LSSAH », l’Allemand Thomas Fischer nous accompagne dans l’univers – souvent mal connu – de l’artillerie… qui plus est, celle de la 1re division de la Waffen SS! Changeant un peu des Panzers ou des Grenadiere, le monde des Artilleristen est tout aussi passionnant : observation, direction de tir, déploiement des pièces, préparation des obus et le rapport «intime», voire «affectif», du Kanonier avec son canon ou son obusier… Prussien de l’Est « spartiate », artilleur de la première heure et chef de troupe extrêmement strict, Gustav Mertsch tient non seulement à engager ses pièces depuis l’arrière, en tir courbe, mais aussi souvent que possible en tir direct, pilonnant certaines cibles quasiment à bout portant. Au cours de certains combats, les artilleurs utiliseront parfois leur Karabiner, notamment à l’Est, tant l’ennemi peut approcher par surprise. À travers cette oeuvre, le lecteur pourra saisir l’importance cruciale de l’artillerie, en défense comme en attaque, tant lors de la courte Campagne des Balkans du Printemps 1941 que durant les mois éprouvants passés dans l’immensité du Front de l’Est. On retrouvera également l’Artillerie-LAH en Normandie, lors de son déploiement au sud de Caen fin juin/début juillet 1944. Grièvement blessé en terre normande, Gustav Mertsch est retiré de la dite « Invasionsfront » et ne retournera plus dans la Leibstandarte. Après la guerre, il s’établira sur Hanovre. Conscient d’avoir été un Kommandeur très rude, Mertsch préférera fuir le contact avec ses anciens soldats de l’Artillerie-LAH.